3 500 personnes ont fêté le 1er mai dans les rues de Brest selon les syndicats.
Comme partout en France la colère ne retombe pas, et les syndicats demandent l’abandon de la réforme du chômage et celle des retraites. L'après Covid risque de voir une explosion sociale.
« La réforme de l’assurance-chômage, rejetée par toutes les organisations syndicales et qui n’a d’autre but que de faire de nouvelles économies, est poursuivie. Elle pourrait pénaliser plus 1,7 millions de demandeurs d’emploi, parmi eux les plus précaires et particulièrement les plus jeunes. » Souligne la CGT